Additional information
Weight | 1 kg |
---|---|
Dimensions | 10 × 10 cm |
12,00 €
L’ orage menace. Comme un enfant de plus, nous vivons au sein d’une famille d’éleveurs de l’Australie profonde. Nous baignons dans un mélange de parfums de fleurs, de poussière, de suint de brebis, de musique et de poésie. Nous sentons se nouer le drame qui ira jusqu’à l’explosion finale. Jamais aucun voyagiste ne nous permettra de faire un tel voyage culturel parce que la culture sent parfois fortement la lanoline.
Rosenthal, une enfance australienne est le récit d’une enfance dramatique.
D’après Jean Darot, directeur des Editions Parole, France
http://www.editions-parole.net/
Weight | 1 kg |
---|---|
Dimensions | 10 × 10 cm |
Brigitte Allegre –
Après avoir passé la journée avec des personnes qui ne me donnent aucune envie de désespérer de l’humanité, il faut croire que j’ai de la chance, parce que j’en rencontre d’autres le soir-même. L’association Cabrières d’hier et d’aujourd’hui avait organisé une rencontre et des lectures autour de Juliet Schlunke et de son récit Rosenthal, une enfance australienne, de Jean Darot qui se décrit comme un artisan-éditeur et qui exerce à Bauduen, sur les rives du Verdon (la gauche ou la droite, je ne sais pas) et de ma pomme avec Les fantômes de Sénomagus. Un moment m’intéresse particulièrement, lorsque Juliet explique pourquoi elle a voulu écrire directement en
français, pour prendre ses distances avec des émotions qui exprimées dans sa langue maternelle l’auraient trop bouleversée, détruite peut-être. Son récit est très simple, un témoignage qui sonne juste, jamais complaisant ou nostalgique.